13 juin 835
sans images
ce ne sont que des gens sur la pelouse – ils ne se savent pas attrapés, l’opérateur est loin, sans doute en vélo, et ne calcule rien, il passe (recherches pour suivre les diverses échéances de l’atelier)
j’aime assez les noms qu’emploient les deux fantoches (Salvini et Macron) pour se renvoyer leurs actions ignobles – la pluie, le travail, penser à autre chose, sur les pas quatrième du nom au Japon, centrales, autre chose s’il te plaît – il est des images que je préfère à d’autres
(mais pas celle-là) autoportrait sur fond de bateau échoué (pour suivre OH dans ses pérégrinations) – sans images aujourd’hui, je ne sors pas, la finance et la grève – la joie des journaleux quand enfin la wtf centrale confédérée française démocratiik du travail – comme pour les retraites, on n’oublie rien – fait en sorte de faire tourner le truc en eau de boudin – « En guerre » (Stéphane Brizé, 2018) en parlait assez bien de cette jaunisse – j’ai perdu mes images de Nagoya, tant pis – ce suivisme, quelle plaie
au ciné « Une affaire personnelle » (Una questione privata – Vitorio (ah paix sur son âme) et Paolo Taviani, 2018) erreur de casting (Fulvia, ainsi… non) mais des moments de cinéma magnifiques comme il(s) sait/savaient en faire (mais trop, beaucoup trop de brouillard mal foutu)
ouverture : travail, photos, santé de ma mère, le ciel qui s’égaye, le mois de juin comme toujours aux h-jours si longs si courts au fond, des amis qui parlent, des livres, des joies et des rires, le ciel s’est éclairci, aujourd’hui
vous précède d’une place dans la liste de l’atelier, mais vous suis avec plaisir admiratif