14 mai 805
(les huit cents jours de cette loi abjecte sont allègrement dépassés mais le « En guerre » de Stéphane Brizé sort au cinéma, avant à Cannes, on ira sans aucun doute et on en fera un billet en maison(s)témoin) (à ce propos, suivre le tilde de Christine Jeanney)
une semaine de (vacances? non; repos ? oui; lecture, jardinage, bricolage, promenade, vélo natation enfin le kit) (et du) soleil
Dans l’auge devant la maison, c’est un cerisier. Le figuier se trouve contre le mur, orienté au sud :
Il se porte bien, semble-t-il (qu’en sait-on, de ces végétaux immobiles ?); En lecture, le dictionnaire amoureux de Naples (ce type de publication est, sans doute, à gerber, mais il faut bien que les auteurs bossent aussi – ici Jean-Noël Schifano – je l’adore (comme disait Leonardo Sciascia de Stendhal)) (le même volume à propos de Venise a fait travailler cet infatué Sollers – alors qu’il loge aux Zattere : il n’y a pas de justice); plus La grande Fenêtre (Raymond Chandler, trad.Marcel Duhamel, tout au présent – les mêmes histoires, toujours); plus Le cercle, plus le reste.
Soit le cinéma Larguées (Eloïse Lang, 2017) comédie assez burlesque – têtes d’affiche : 3 femmes, typées (Camille Cottin, Camille Chamoux les deux soeurs, et Miou Miou (aka Sylvette Herry) la mère) du assez lourd (remake par ailleurs) mais rigolo (dialogues ouvragés, OSEF en vrai mais une comédie quand même)
Dans la brume (Daniel Roby, 2018) espèce de drame fantastique (toutes les voitures sont neuves, équipées de batteries de camion, c’est merveilleux) à éviter
en dvd Total Recall (Len Wiseman, 2012) (j’aime assez Colin Farell, premier rôle; il y a aussi deux filles, Kate Beckinsale et Jessica Biel) là, oui, de la science fiction (vaguement le goût de Blade Runner (Ridley Scott, 1982) mais trente ans plus tard… bof.)
Trouvé ceci chez André Gunthert générique assez plausible (et on ne lâchera pas)
une échelle pour arriver au premier, le balcon, une petite autre pour entrer dans l’appartement du deuxième, porte-fenêtre ouverte, les pompiers ont refermé les fenêtres
L. habitait au deuxième étage sur le quai Gustave Ador : quand mon grand-père (mon bon génie) ouvrait l’une des portes-fenêtre du salon, il pouvait en tournant la tête vers la gauche m’apercevoir, en train d’admirer le jet d’eau en face de moi. Je me tournais vers lui, lui souriait puis nous descendions, passions devant chez Migro et on allait au café rue des Eaux Vives où il me donnait la mousse de sa bière, il aimait les montres ; les enfants, nous aimions nous baigner dans le lac seulement l’herbe mais pas de sable
je ne suis pas jalouse pour tout le début, non je ne suis pas 🙂
et le bon génie m’en rappelle un, ça fait du bien