25 mars 755
c’était la foire (il y avait du monde) dans le petit pavillon des vétérinaires, devant, il y avait cette installation avec des arbres des sapins, de l’eau des chants d’oiseaux (apparemment si j’ai bien compris – mais non, je dois avoir faux encore, là – c’est fait pour faire peur et prendre conscience du vide abyssale de nos vies maudites par la technologie/cratie, j’en rajoute – mais c’était juste beau…) (jt’aurais bien mis un lien, mais le site de la rotonde des vétérinaires n’est pas à jour – bof) (le site du collectif quand même ici) (l’installation nommée Absynth qualifiée de monumentale sera présentée à Ardenome grenier à sel, à Avignon, du 31 mars au 3 juin)
je dois être imperméable, n’importe… Le soir ça a été cette merveille à la Maison de la musique de Nanterre (grâce à apap qui avait indiqué cette venue)
Melingo en grande forme, clarinette et toute petite guitare chose à six cordes : magnifique
on est revenus joyeux sans savoir que c’était l’heure d’été qui nous attendait – n’importe, je suis imperméable – arrivé là, je vois que François Bon a publié cette vidéo des dix ans de publie.net ce qui, aussi, fait chaud au coeur.
On continue à lire et écrire à quatre mains (mais je suis nettement distancé : tant pis, je lis, et ça prend forme; on verra bien)
On va aller bosser pour la peine (retourner à la foire, n’importe je fais mon boulot).
j’ai fait des conneries avec le ménage des mails, j’ai « archivé » et puis voilà.. gros jean comme devant ? Oui bon bof… aujourd’hui le ban et l’arrière ban, les femmes parfumées atourées enbijoutées, les hommes chaussurés noirs cirées en miroir, les courbettes, les « monsieur le … » ou « madame la… » tous à se reconnaître, là, je t’en ficherai moi : m’est revenu « veste à carreaux ou bien smoking, un portefeuille dans la tête » : le vieux Léo, Jean Roger Caussimon, et elle, Catherine Sauvage…
mystères de la nuit…
le seul souvenir de la maison de la musique de Nanterre (et oui les moments choisis par Fraçois Bon) plaisir itou, sourire – our le reste décidée à rester à côté du jour, dans un autre espace et autre temps