Carnet de voyage(s) – 676 – trois janvier deux mille dix-sept
Rubrique(s) : Carnets de Pierre Cohen-Hadria / Carnets de voyage(s) / journal quotidien
3 janvier, 2018 1
au boulot
il paraît que ça va souffler (l’intitulé des tempêtes a tendance à édulcorer les phénomènes, et c’est bien cette hypocrisie qui anime le monde)
des images du golfe de Naples, c’est pour essayer de supporter (la mort de Jacques Lassalle a fait de la peine, par exemple – et ses représentations toujours un peu de travers –
) on supporte, on endosse, on essaye de comprendre les raisons d’agissements assez ésotériques (hier au téléphone, on évoquait cette maladie qui, peut-être, fait son retour et expliquerait le renoncement, mais que faire ?) d’ailleurs (ou de ce fait) j’ai perdu ma voix, les gens grimacent et tendent l’oreille, mais qu’y puis-je ? il y a aussi le château de l’Oeuf, dans ce golfe
(c)MDBC
ville magnifique que Naples, y retourner comme à Gênes (on prépare un billet dans ce sens, GE nove et ses adresses gastronomiques, à paraître), oui, y retourner – capturé quelque part, en bas du quartier espagnol
(c) MDBC
(ici, voilà cent ans, naquit la « pizza margherita » 1889-1989 Brandi) c’est beau comme de l’antique, et c’en est…
Pour finir ce rendez-vous samedi prochain
on y sera… (ça rappelle l’année dernière…) (chez remue.net aussi, tiens…)
oh oui Lassalle, je viens de l’apprendre, et la peine est réelle, pleine de souvenirs dont un à Pompidou, il y a longtemps, quand il tentait de se refaire après le choc de sa destitution