Treize dix sept – 625
un peu tard, le soir, la Varda a reçu un oscar d’honneur en la cité des Anges (on pensait à « Mur Murs » (1980)) , et c’est ainsi qu’on se souvient de son cinéma – « à quatre pas d’ici je te le fais savoir » disait je ne sais plus qui –
pour AV donc (pour Daguerréotypes, elle avait nommé à l’oscar du documentaire – en 1976, ce siècle n’avait pas encore dix sept ans) (et AS en dédicace) Léonce et sa femme dans la rue Daguerre vendaient alors des parfums sur mesure en leur boutique « Le Chardon Bleu ».
Je me souviens que (celle qui tenait le blog) Ruelles m’avait indiqué le nom que portent ces étranges poteaux fichés dans la lagune (des palines)
J’ai entendu dire que STGM2 n’avait pas déposé la couronne de coquelicots en l’honneur des morts décédés de la guerre, des deux d’ailleurs si je ne m’abuse et que ce fut le prince héritier (69 piges) qui s’en est chargé
Enfin, peu importe, travailler et chercher un téléphone portable (ne m’appelez pas, ça sonne creux vide mort) et voir comment combattre le froid et la pluie qui s’abat sur mes jours (pardon pour le pied droit, pardon pour le nez droite cadre) (une pensée pour Jack Ralite, qu’il aille, l’âme en paix).
Hier au ciné « Prendre le large » (Gaël Morel, 2017) (générique de début : merveilleux) (je ne sais quoi, mais le truc ne tient pas) Edith Clairveau (si je me souviens bien) (alias Sandrine Bonnaire) éclaire tout de même les plans (elle se trouve dans tous…) d’un sourire, parfois… (pas convaincu)
Ralite une tristesse calme, mais vraie en apprenant cela, pourtant bien naturel
La Reine-mère secoue la tête normalement (je connais aussi le même modèle en Einstein)…
Et souvenir du « Carillon' », ce matin du 13 novembre d’il y a deux ans, et la rue Bichat bloquée par des flics avec fusil-mitrailleurs dès 08:45, heureusement on partait ailleurs…