Pendant le weekend

Deux trois cinq soixante trois quatre (an II)

 

il n’est pas si simple de faire ce dont on a envie : ce qu’il faut, ce qu’il y a à faire, les impondérables, les obligations : aller ici ou là, accompagner celle qu’on aime à l’avion, aller chercher des affaires à celui qui s’est fait opérer, continuer à travailler ailleurs, faire des choses et d’autres des courses, chercher les livres de Lucien, continuer le feuilleton, essayer de rendre compte du cinéma, et encore à nouveau sur le métier remettre l’appel téléphonique aux impôts tva continuer à honorer ses rendez-vous, aider celui-ci celle-là, tout va bien, juste que les jours sont un peu trop courts, et le temps un peu trop à l’averse

je suis passé dans la rue, il y avait ça (c’est neuf heures trente à peu près)

je suis allé à la banque, je suis revenu porter le dvd (« Une vie » de Stéphane Brizé, 2015 : épatant) (il y a des types comme ça qu’on suit – et des filles aussi bien), j’ai croisé ceci

que je range immédiatement (21 juillet 2016), j’ai parlé avec un dame à la poste (elle ne savait pas exactement comment acheter des timbres rouges -les automates n’en proposent que des verts – je l’ai aidée à en acheter – des verts – expédié les lettres à la commission informatique et libertés (ça s’appelle comme ça ? ) et au bailleur) j’ai continué mon chemin (dentiste, lectures, écritures, courses etc…) repensé au feuilleton, continué encore et encore… autre jour, autres choses… passé devant cet établissement

rue des Trois Couronnes (je te le montre par le robot aussi y’a pas der raison)

(légère plongée) la mienne est mieux (évidemment), il y a dans cette rue un mur peint, une merveille (mais je n’ai pas pris de photo (je pourrais décliner suivant les dates du robot – je le ferais sans doute un jour) là « cannibales » (je crois que la porte donne accès au jardin, un lieu magique et magnifique, j’adore ça – en cadeau)

demain, si j’y pense, j’y passe (ce jour dans la maison(s)témoin suite du feuilleton VarDaguerre) (ou VardAnne Savelli)

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2 Comments

    « Cannibales » : de temps en temps, un mot interroge dans la rue.

    Comme, pour certains, un bulletin dans l’urne : il est vrai que celui qui est « blanc » ou « nul » ne vaut pas une photo de « street art » comme ici !

  • @Dominique Hasselmann : merci du passage.