Trente soixante et un
(en boucle « Milagrario pessoal« -José Eduardo Agalusa, musique de Riccardo Cruz, une merveille -vers 52′ sous le lien, une merveille) fait froid (passé chercher des croissants)
les 30 avril sont traditionnellement (?) des International Richard Widmark days (IRWD 17 on pourrait dire), comme on sait (ou qu’on oublie) mais n’importe (Richard et Ida Lupino, au bowling, avec Cornel Wilde, dans « Road house » (« La femme aux cigarettes« ) Jean Négulesco, 1948) (la jalousie, c’est jamais facile hein, et Ida est si mélancolique, ohhh…) demain on aura droit au muguet, hier, c’était « Après la tempête » (Kore-eda Hirokazu, 2016) tremblant émouvant simple splendide (relations inter-familiales magnifiquement mises en scène) tout à l’heure sans doute un film italien (y’a pas que le cinéma dans la vie : il y a aussi le boulot, mais en parler, non, le faire : il paraît qu’il le faut – n’importe, fait beau)
la statue au centre de la place de Clichy (le maréchal qui défend Paris, après la chute à Napo – le grand, dit-on – après Waterloo morne plaine, peut-être bien), j’ai quand même commandé les deux derniers opus à Lucien (« Angèle ou le syndrome de la wassingue » chez Cours toujours; et « Ni bruit ni fureur« à la Table Ronde), en revenant du ciné la gare
je continue la bio de Charlotte Delbo (chez Pluriel, Violaine Gelly et Paul Gradvohl 2013 chez Fayard- qu’en faire, je ne sais), la prise de vue des dates bituminiques (qu’en faire ? je ne sais), les vues de Venise (là, j’en sais un peu plus) et je continue encore les découpages sons pour l’aiR Nu et le reste à l’avenant
Ce Richard Widmark, acteur magnétique s’il en est (il aurait ainsi « attiré » un WDay à lui tout seul ?)…
@Dominique Hasselmann : voilà quelques années que le 30 avril lui est dédié par quelques urluberlus dont je suis…
tiens vais imiter