Quinze quarante six an II
Quelques images sur le bureau avant de continuer le carnet de voyage(s) tout en espérant parvenir à rester en course dans le travail et les difficultés toujours agissantes (le printemps, les élections -turques, notamment – , les bruits de bottes -atomiques à présent – , les parfums de scandale ou de terreur, garder son calme et froide la tête…)
j’ai croisé le recueil du mois d’avril 1974 (on allait emprunter « Missing » – Constantin Costa-Gavras,1982 – « MASH » -Robert Altman, 1970 et « Je ne suis pas là pour être aimé » -Stéphane Brizé, 2004) , le titre sur la révolution des Oeillets, le 25 avril de cette année-là, la photo d’hommes en arme, tonton et crâne d’oeuf, toute une affaire (« collectivisme » cette merveille éculée de ce si brave garçon bientôt élu…)
Une image dédiée à l’Employée aux écritures (le Pont Perrin – lieu dit – de Baguer-Morvan, Ille-et-Vilaine) et à son entreprise (passionnante) d’égo-anthroponymie.
J’asq. 27 on ne sait pas exactement d’où vient le lion qui se trouve sur l’une des colonnes délimitant la piazetta à Venise (Alexandrie ? Beyrouth ? Damas ? Constantinople ?) bien qu’il s’agisse de l’un des symboles les plus évocateurs de l’histoire de cette ville (reçu un livre en cadeau : tous mes remerciements) (à l’arrière plan l’église, sur son île, de San Giorgio Maggiore)
au cinéma « Corporate » (Nicolas Silhol, 2017) incrédible et mal scénarisé (dommage) (acheté le numéro 732 des cahiers du cinéma – quelque chose qui ne m’était pas arrivé depuis mes années d’études (fin soixante dix) – 5.9e j’ai l’impression qu’alors il en coûtait plus (relativement) mais qu’il était plus tranchant (et d’ailleurs énervant pour cette raison)). Quelques fleurs en attendant le carnet
savais pas que les Cahiers existaient toujours (ai dû cesser en même temps que vous à peu près et j’ai semé en route ma collection..)
l’hystérie du monde sans être de même niveau que dans mes toutes premières années tend à égaler presque celle de mon enfance et mon adolescence et MMMM
Merci à vous, toujours si prompt et habile à dénicher les images !
La Céline Sallette est pourtant jolie (trop ?), en couverture de Télérama… Mais en DRH, peut-être pas assez « virile » ?
Je compte aller voir quand même ce film.
« Collectivisme » ? On croirait déjà entendre Macron parler du « communisme » (totalitaire, forcément) de JLM… ou « Le Figaro » dirigé par le sieur Dassault, les mains dans les poches pleines de billets de banque.
@l’Employée aux écritures : bienvenue…
@Dominique Hasselmann : Céline Sallette (Emilie Tesson-Hansen dans le film) dispose d’une présence efficace (elle envoie grâââve du pâté comme dirait je ne sais qui) mais son rôle souffre d’un manque de réalisme, c’est à pleurer, et elle fait ce qu’elle peut… vas le voir, tu me diras