Quatorze quarante cinq an II
(on fait des séries, c’est la mode – personnellement, pourtant, j’y reste complètement imperméable) (je veux dire à la vision télé d’icelles) deux au moins ici (comme quoi), celle sur la station de métro Barbès, et celle sur les alimentations générales.
déclencher l’appareil à l’ouverture des portes (hier un café avec le frangin au Wepler – 3 e pièce)
afin de déterminer qui y entre
mais hier personne (j’étais dans la voiture du milieu de rame)
tant pis.
En tout cas, je bosse, vacances de Pâques jeunes gens jeunes filles grands parents harassés, rien à dire. Pas de ciné, fatigue due aux levers intempestifs, mettre sur le métier l’ouvrage et regarder ce qu’il en est des plans (dans le cahier noir, une liste de noms à contacter pour la petite fabrique du livre, mettre en billet l’entretien (découpé, monté, nettoyé, illustrations) avec Frédéric Ciriez, en retard, celui avec Sylvie Croqueloi (cheffe de fabrication des ouvrages de la collection Pléiade) terminé (même chose) mais à l’heure – à écouter bientôt sur L’aiR Nu).
Le vendredi c’est 36 secondes (par Anne Savelli), et Poème Express au SILO (on a des trucs à faire)
La sélection des films de Cannes (cherché sans trouver la composition du jury (pas dévoilée encore sinon président Pedro A.); une enquêtrice Béa B. bossait aux accréditations, peut-être toujours – les prémisses de ces journées, avec les costumes, les bijoux, les réservations, Claude Beylie et son studio etc etc) (une sorte de dégoût tout autant : je ne retiens rien) (sauf le lieu où se déroulait la conférence de presse d’annonce : le café de la Paix ? non, une salle de cinéma des Champs Elysées -laquelle OSEF).
La station Barbès est un lieu multiculturel (à sauvegarder au patrimoine…).
accord avec le commentaire de Dominique Hasselmann (et j’y mettrais des souvenirs)
@Dominique Hasselmann & brigetoun : tout le quartier l’est – très entamé, et de plus en plus… Merci du passage