Sept trois cent soixante douze
la journée entière dans la pléiade fabrication, édition, vente, histoires de libraires, d’éditeur, ors et jardin, cours et repas buffet, culture et commerce, un moment différent – on travaille à la petite fabrique, on y travaille…
influence, calme, tempérament, une sorte de vindicte du marketing, c’est assez tourneboulant (mais je n’ai jamais rien à vendre non plus) (et va-t-on aller mordre la main qui vous nourrit ?)
En revenant à pied, jusqu’au Louxor, où on donnait (c’est une façon de parler : les abonnés avaient droit à une place gratuite gagnée par tirage au sort – je suis abonné, ça veut dire que j’ai acheté une carte à 53 euros les 10 séances – j’ai pas gagné) le nouveau film d’Aki Kaurismäki en présence de son acteur principal, Sherwan Haji, très applaudi
« L’autre côté de l’espoir » beau film qui illustre notre contemporain, musique personnage, à voir sans condition.
J’asq 12. Stendhal/Marie-Henri Beyle Brulard écrivit (ou dicté) « La Charmeuse du Tarn » en 53 jours (mauvais contrepet), lesquels 53 jours ont quelque chose à voir (je ne sais pas/plus quoi d’ailleurs) avec la revue sans aucun numéro qu’avaient tenté de créer Perec (qui aurait eu 81 piges hier – enfin dans l’aujourd’hui du journal) avec deux de ses amis (noter la concordance des nombres) (entrée de l’auteur de « L’homme qui dort » (1974) dans la collection prestigieuse, ce qui – donc – n’est pas indifférent du début de ce billet)
Il en aurait sans doute tiré un roman (Perec), avec un immeuble où rassembler, chambre par chambre – un hôtel de plus – les heureux bénéfiiciaires la plupart posthumes…
bonne nouvelle à la fin