30/03 Trois cent quatre vingt quinze
Après un café avec l’Employée aux écritures (le fils à Boltanski avec « La cache » (s’appelle Christophe, c’est chez folio au moins); Pierre Pachet avec « Autobiographie de mon père » titre magnifique (au livre de poche), à lire sans attendre, tous les deux) (merci) (d’ailleurs dans la (magnifique) rubrique 36 secondes de l’aiR Nu, due à Anne Savelli, on trouvera Pierre Pachet dans la même livraison que Martine Sonnet, comme quoi, il n’y a guère de hasard…), je suis allé prendre le RER
(ici une image qui prendra place dans une rubrique à venir de l’aiR Nu – sauf qu’elle est pas carrée, mais ça peut s’arranger) à Auber pour aller à Cergy préfecture (me suis planté, arrivé à Poissy, un type charmant – 60 piges, arabe, souriant, aimable et aidant – me dit « ah non non tu dois retourner et reprendre un autre train, ici c’est terminus » (d’accord j’étais dans l’or noir, je suis retourné, arrivé à l’heure comme quoi j’avais de l’avance)), là, dans l’école d’arts, le prof
(François Bon) présentait les livres de deux auteurs, l’une Anne Collongues
qui publie chez Actes sud « Ce qui nous sépare » (sept voyages en train) (écrire et réécrire, et écrire et photographier) et Simon Johannin,
lequel publie chez Allia (très bonne maison) « L’été des charognes« , dont il nous lut quelques paragraphes (enfance à la campagne si j’ai compris) (pas que, certes), deux auteurs qui sont passés par des écoles d’art pour mieux pouvoir en sortir (comme à chaque fois, de l’école, le mieux c’est quand on s’en sort) (et qu’on en sort) (on a appris à en sortir en y allant, voilà tout). J’ai rencontré le (l’un des, donc) frère(s) du prof à cette occasion (en vrai, disons).
Je m’en suis allé dans le soleil, à la station suivante me suis aperçu de la perte de mon écharpe stamboulliotte – c’est complètement impossible, la suite lui prouva que oui (dixit Brassens – retour case départ
) et deux heures plus tard back to Babylone (sept heures du soir, ah quel terrible sept heures du soir).
riche billet 🙂
Mais oui, Pierre Pachet sur l’aiR Nu, vous aviez raison et je me demande bien par quelle sorte d’acte manqué de mémoire je l’avais oublié puisque je l’avais écouté !
Bien repérée, la « Case Départ » (sans doute la « Case Arrivée » encore en gestation)…