Vingt six trois cent trente deux
Hier allant déménager puis accrocher, je suis tombé sur eux (ce sont des augures probablement)
(s’il faut croire à quelque chose, croyons au hasard) demain donc, vendredi, vers 19 heures dans la galerie sise au six de la rue Elzévir, lectures dans l’exposition (magnifique) In titulée « In situ Incipit » de Mathilde Roux (le texte que j’ai préparé, illustré de vingt sept images, qui passeront deux fois derrière moi, je l’espère, sera en ligne au moment où je le lirai, soit vers vingt heures cinquante, ici même). Les lectures continueront le samedi, qu’on se le dise… (même heure, même endroit)
On a regardé « En remontant la rue Vilin » (Robert Bober, 1992) recommandé par ana nb je crois bien (qu’on remercie) j’en ai tiré deux photogrammes (images du film prises à quelques années d’intervalle – peut-être l’une avant guerre « Coiffure de Dames », la seconde « Coiffure Dames » dans les années soixante)
le salon de coiffure de la mère, assassinée en février 1943, de Georges Perec
au vingt-quatre de cette rue (qui donne une note comme en écho à l’espiègle Invent’hair du Notulographe)
« que les bulldozers ont commencé d’abattre le 4 Mars 1982, au lendemain de sa mort »… (Georges Perec, né un sept Mars (36), est mort le 3 du même mois, en 82).
Et tout en haut de cette rue, un escalier montait encore, aujourd’hui, c’est le jardin de Belleville qui jouxte Ménilmontant, et de la haut, la ville et ses lumières (image de l’ami Denis Pasquier), que 17 aille mieux que les précédentes, c’est tout ce qu’on souhaite
je ne sais plus où dans quelle exposition je l’ai vu (une fois et demi) ce film – mais lui je ne l’ai jamais oublié
@brigetoun : j’en ai fait une suite… merci du passage