Vingt quatre vingt cinq trois cent trente et trente et un
(deux jours d’un coup, ça vaut mieux) (faut tenir surtout quand il y a de la compta qui traîne et radote, et des tris analyses etc… qui font gravement braire) (je dors mais je cauchemarde des chiffres à longueur de nuit) ma claque vraiment j’en ai, mais n’importe je continue à tirer mon joug (heureusement les amis sont là, hier c’était à A. on a été chez l’asiate – buffet à volonté – un peu de tout : sushis, boeuf aux oignons, nems, riz de Canton ou d’ailleurs, nouilles…etc. pour 10.5; aujourd’hui au Merle Blanc avec O. on parle, c’est déjà bien, on se raconte les lectures, les votes, les films les parents) (à ce propos, on peut m’indiquer en commentaires si on connaît une association qui a besoin de livres – et viendrait les chercher, d’ailleurs – ce sont des livres (peut-être 150) reliés historiques il me semble – pour les faire parvenir à des lecteurs ici, là ou ailleurs) (merci à H. pour ses infos)
spécimen à chapeau sur chevelure en queue de cheval capturé sur la ligne qui va de Stal à Clichy par Barbès) (ici reprise de la série qui monte à Barbès : personne, on descend seulement
) (le genre de bruit dont j’adore me faire l’écho : il paraît que micron et moitié galeux sont ensemble) (avoue quand même que je ne fais pas dans la dentelle – en même temps, je fais attention à mon chou) ici le pont du métro qui longe celui d’Asnières, je crois bien : le brouillard a déménagé la Défense
en dvd : Mon oncle d’Amérique (Alain Resnais, 1980) (illustration des thèses de Henri Laborit; sympathique)
The Band wagon (« Tous en scène« , Vincente Minnelli, 1953) (magiques Cyd Charisse et Fred Astaire) (on doit à la vérité de dire que le photomaton qu’on voyait dans l’expo Avedon – hors de prix – de la Binaf attribué là-bas à « Funny face » apparaît ici et non là, et que Fred Astaire alias Tony Hunter y fait une prestation extra avec un cireur de chaussures extra tout autant – on pense au sous-fifre conseiller du sous-prince qui se faisait cirer les pompes par un cordonnier du bon marché (le mal nommé), c’était du temps de nono qui (après une traversée du désert) est en Colombie là, dont la femme -à aquilino, pas à nono, hein – si je ne m’abuse, bosse néanmoins cependant à la Binaf) (le monde est petit)
Grâce au brouilliard que je qualifierai de… « pollutionné », on peut faire de la vraie photo impressionniste !
Le type en chapeau, ce ne serait pas Aristide Bruant ? 🙂