Vingt huit trois cents
c’est demain qu’elle passera en procès pour ses idées, voilà tout (l’indignation, l’écoeurement face à ce monde idiot tenu par des autocrates, mais qu’y peut-on sinon tenter de crier ? je ne sais pas) il faudrait s’en mêler, il faudrait tenter d’oublier aussi, mais non, c’est là, ça hurle et ça tue.
Pour Asli Erdogan et pour qu’on tente de ne pas laisser tomber tous ceux qui croupissent et meurent dans les prisons turques…
on y met une belle image, c’est le soir, les jours rallongent, c’est la trêve des confiseurs dit-on, sapins cadeaux agapes et l’amour et l’amitié alors on oublie ? Ah cette vie…
Le dictateur Erdogan, ami de Poutine, aurait pu avoir la décence (mais il est vrai qu’il est dictateur) de changer de nom – et celui d’Atatürk avait déjà servi…
La photo est belle : suffira-t-elle ?