Vingt deux deux cent quatre vingt quatorze
(j’avais acheté le journal – 2 euros quarante… ! foutre – et je l’ai perdu devant le ciné je crois…) (je ne l’achète plus depuis bnp dlamerdenbarre pourtant mais là, je ne sais pourquoi) (deux ou trois horreurs, terribles, à Berlin, Ankara, ailleurs je ne sais plus, terribles) (une autre encore avec cette ex-ministre des finances qui ne purgera pas sa peine – selon que vous serez puissant ou misérable : révoltant, inique, et pour tout dire dégueulasse) (mais qu’est-ce que c’est dégueulasse disait l’autre, oui, la petite blonde, là)
(les arbres de la rue, un pigeon, enfin au printemps)
les jours rallongent, il me semble, mais l’insomnie cette nuit m’a terrassé
(demain on part, back in Babylone lundi)
(la baie de Carthage vue de Sidi bou Saïd)
(terminé ma contribution atelier d’hiver, j’ai eu un peu de mal – un article billet de François Bon sur la publication à la demande : formidable) (je finis le boulot, toujours rien sur le compte en banque…)
au cinéma « Paterson » (Jim Jarmusch, 2016) ma-gni-fi-que (lent, une poésie quotidienne doublée d’un humour tellement humain, une merveille)
Paterson : une merveille oui une merveille
@L’employée aux écritures : c’est quand on aime le cinéma… merci du passage
« Le Monde » papier est hors de prix (surtout quand on a déjà un abonnement « électronique » totalement dissuasif pour le lire de A à Z)…
Coîncidence : j’ai été voir, hier matin, « Paterson », et j’en dis quelques mots sur mon blog aujourd’hui…
[…] ça) à Pierre Ménard, à Dominique Hasselmann, et à l’Employée aux écritures pour son commentaire (et par suite, à Brigitte […]