Deux/trois-neuf-cent-quatre-vingt-sept/huit
(hier déménagement Montrouge/Belleville en passant par Botza : des sacs à l’odeur de brûlé, la « maison brûlée » qui entre dans le vocabulaire, et la semaine prochaine rendez-vous) (étrange de ne plus rien avoir à soi que quelques objets tachés de suie -ma fille a rangé les volumes de la comédie humaine dans un cageot – et une vieille auto interdite dans les rues de cette municipalité) (brrrr… « loco c’est le nom qu’il me donne et qui veut dire fou », cette chanson –un tango traduit par Etienne Roda-Gil « dans un ciel de réglisse/j’ai jeté des dragées »… quelle merveille- accompagne l’image) (les pétroliers qui viennent donner à la rivière un long baiser salé…)
(« et dans ce monde/où tous les hommes/se croient debout/je suis le seul/à me vanter/ de me traîner/à tes genoux« ) (manqué l’ouverture des Jours Heureux à Rosny -partie remise- et la venue de Titi au carreau du temple) (bah le monde tourne, la vie va et mes rides se creusent)
merci d’avoir attiré mon attention sur les paroles… n’avais jamais vraiment écouté
pour le reste, ne peut que vous dédier un peu de navrance et d’encouragement admiratif
@brigetoun : même pour « joe le taxi » Etienne Roda-Gil assure toujours un max…(oui, enfin pour Joe il s’est pas foulé foulé non plus…). Merci de passer.
Toujours admiré ceux qui badigeonnent les marches des escaliers roulants du métro…