Vingt-quatre cent soixante-dix-huit
(je n’ai pas bien saisi ce qui prévaut au choix des villes du rétro-alphabet – le hasard et la dédicace je suppose ? – mais il se termine – c’est quand même du lourd – ici ont cessé les « sur le bureau » ou moins peut-être les »oublier Paris » mais on continue quand même – on prend des photos mais on oublie les mots des gens, on observe ceux qui sont là -ils sont âgés ou désargentés voilà tout – malgré les turpitudes et les merveilles du monde -un rendez-vous avec le bailleur début septembre) F comme Fortaleza (c’est au Brésil Nordeste) (sa devise : »force bravoure courage » : tout un programme…)
sous le signe des vacances des plages et des bateaux (on s’amuse, on pense à autre chose on oublie les ennuis) (il fait beau, on attend que ça se passe, parce que la chaleur, en ville, quelle daube)
(on aime assez les enfants et l’enfance mais au mois d’août, ici, au chaud on demande un peu d’air, un peu de calme, un peu de tranquillité et quelque chose pour soi, l’oubli et un lieu, des outils et tout est perdu – certes, tant mieux – mais tout de même, je me retourne et derrière moi je ne trouve que mes souvenirs) (cette forme de journal du bout du monde, penser au carnet de voyage(s) de cet été, oublier Venise et Trieste, Athènes et Héraklion, l’Europe de la Méditerranée, le reste du monde et les wtf olympiades après coupe de foot, quel tunnel depuis début 15…)
Même les zombies ont commencé petits…