Pendant le weekend

Vingt-deux huit (2) cent soixante seize

 

(dans les difficultés qui étreignent toujours en ce moment, ce jour, cette temporalité peut-être, il y a cette faculté qu’on a, en inversant le passage des choses et des lettres, d’en oublier une (chose : lettre) : le J en l’occurrence : l’oubli réparé sur le temps de travail, ça aura l’air d’une perruque -à la jésuitique : en réalité, Michel de Certeaux, on l’aime assez ici- mais qu’importe, deux billets le même jour pour rattraper une erreur alphabétique – ou taire je ne sais pas trop…) J comme Java, et Jakarta

J comme Jakarta à Java

dans le temps (les années 50) où j’écris pour l’atelier, il me semble que, comme la première lettre du Dahomey- devenu le Burkina-Faso – je dois me renseigner à ce sujet – Jakarta prenait un d en son début – réminiscence sans doute d’un lointain passé colonial : en réalité il semble que les deux orthographes siéent – ici un projet pharaonique, ou alors éléphant blanc, je ne sais pas, je ne le vois que de loin, comme lui

J comme Jakarta Java 2

peut-être (le robot se prête souvent à ce genre d’incursion dans la vie des gens, quoi qu’il ne pratique toujours que dans des circonstances qu’on pourrait dire « normales » – la réalité des prises de vue du robot est peut-être divulguée quelque part : la firme aime à se couvrir de ce type d’explications) (mais je ne cherche pas) (avant hier, au cinéma « Irréprochable » : jamais titre de film n’a autant été l’oxymore de sa réalité -circonstance atténuante : c’était au Royal, salle qu’on aime à faire vivre parce qu’on aime le cinéma) (hier soir « Jason Bourne » il devait y avoir une bonne demi-salle – soit plus de 150 spectateurs – mk kanal – pour un pensum hyper découpé -le film doit comporter au bas mot sept mille plans – comme il dure deux heures, ça ne va pas plus loin qu’un plan par seconde… bof) (inutile de se déplacer pour aucun des deux, si vous voulez mon avis) (en revanche, bien q’un peu long et lourd, « Toni Erdmann‘ » vaut tout à fait le déplacement…)

 

* je confuse entre le Burkina-Faso – la Haute-Volta – et le Dahomey -de nos jours le Bénin.  Je laisse en l’état parce qu’il me semble que cela reflète un peu le brouillard dans lequel ces pays, plutôt francophones, restent dans mon esprit…

 

Share

Les commentaires sont vérouillés.