Pendant le weekend

Vingt six cent douze seize

 

 

(c’est que le temps passe, voilà l’été) (c’est aussi une chanson) (pleut vente crachine…) (travailler, encore et encore : ce n’est pas tant que le corps soit pris, c’est surtout que les conditions de rémunération ne vont pas du tout) (soixante jours, comment veux-tu tenir) (je me souviens dans le bureau de la rue Rouvet – aujourd’hui je crois que c’est un jardin public – quand je demandais au type – l’un des deux frères patrons de la boite – les délais de paiement pour untel – c’était dans les années soixante dix jt’en parle mais jt’en parle même pas- et qu’il me faisait « 90 fin de mois comme tout le monde… », j’appliquais, la facture sous la pile, je me souviens)

roses rouges

hier au cinéma c’était « Diamant noir« (Arthur Harari, 2015) (classique, inutile sans direction d’acteurs, sous-texte en simili-racisme : un erreur à ne pas comettre) (non c’était samedi)

frites

hier, en dvd c’était « Je suis un soldat » (Laurent Larivière, 2015) (affligeante histoire de chenil et de trafic de bestioles avec une Louise Bourgoin (tu te souviens, elle était tatouée sur l’épaule je crois? dans « Un beau dimanche » (Nicole Garcia, 2013)) pourtant assez bien, un Jean-Hugues Anglade épais comme son rôle (on le fait pleurer mais c’est inutile, franchement), un scénario (donc) un peu idiot : deuxième erreur – mais la faute aussi à Johnny – le titre du film, c’est aussi quelques paroles d’une chanson de JPS (qui vient de taper 73) (ça s’appelle « quand revient la nuit« ) à peu près aussi con que toutes celles qu’il chante en général et en particulier) chanson qu’affectionne sans doute la mère de l’héroïne – la mère : actrice magnifique, Anne Benoit)

tangram

aujourd’hui, les pneus, les appels téléphonique, et la fatigue du lever à quatre (une sorte d’habitude inique) (en tout cas à jour de l’atelier d’été, presque de la saisie) (et des cadeaux – deux chemises, le catalogue de l’exposition de Paul Klee – magnifiques) (merci) (et refleurs – du début du printemps celles-là)

Vernoux fleurs

 

Share

1 Comment

    Je pensais aller le voir, ce polar… même si le titre était déjà un peu appuyé…