Quatre vingt treize bis quatorze

Ce soir, et entre autres, vers 19h30 Jacques Testard en conf/intervention à Nuit Debout, Pariggi.

Parce que debout, toujours, et que ça continue au moins jusqu’au retrait de la loi scélérate.

(hier réu L’R Nu chouchou terrasse mise en place diverses pistes travail d’équipe avancées

tandis que quatre ou cinq mendiants demandent de l’aide « j’ai un diabète est-ce que vous pouvez m’aider à acheter une dose d’insuline ? », ce n’est même plus du cynisme, c’est juste Paris -violent, inutile, blessant, trois quarts pourri)

drôle d’image pour drôle de gens (ce week-end en entier bosser-apprendre à cette occasion que « drone » est un mot anglais qui signifie « frelon » ou bruit de, j’en sais rien, passé dans le langage courant -il me semble que du temps de sa majesté très grande -par la taille et l’orgueil – l’intitulé des choses était moins anglo-saxon -il y avait un superfrelon une alouette une caravelle j’en passe et des meilleures sûrement, mais je suis un peu plongé dans ces années-là, par nature et par le travail intérieur qui ne se matérialise pas)

(à l’image : de sa fenêtre, voir venir)

aujourd’hui outre un passage en tour (il fait un peu gris quand même) outre « le jour où la pluie viendra/nous serons/toi et moi/les plus riches du monde) (cent mille volts)

(because feuilleton radio « nos années » et les chansons qui illustrent le projet comme les photos des trains) (outre la chanson avec Cesaria), outre le passage dans le douze pour représentation, le billet récapitulatif des démarches auprès des merveilles du monde -93.1- je ne parviens pas à le mettre en ligne (autofiction de merdàlakon) mais tant pis, je continue avec les appels téléphones assurance/adjoint au logement/bailleur et personne ne répond (except monsieur J. qu’ici je salue)