Cent-trois quatre cinq
(pas sûr que j’y aille – sans doute la peur mais aussi la chanson de Brassens « Le pluriel » et la fatigue qui m’empêche de dormir, les merveilles du monde, les attentats d’Orlando et j’en passe – mais on sera dans la rue demain) (le week-end et les amis les enfants les cadeaux magnifiques) au cinéma « Celui qu’on attendait » (Serge Avedikian, 2016) à ne pas manquer (mais on hait comme la peste les injonctions, aussi : on fera un billet de maison(s)témoin sinon elle va périr) (bien qu’il n’y ait pas que le cinéma dans la vie, il y a aussi la chanson) (le deuxième round de l’atelier d’été) (j’écoute Gian-Maria Testa « tout est déjà là » quelle merveille la valse d’un jour – peut-être, possiblement, l’attrait d’une vie terminée) (le ciel de Paris au dessus des buttes Chaumont)
Tutto è già qui
anche se non si vede
tutto è già qui
nascosto tra le pieghe
e se ci stupirà
sarà soltanto come
come certe novità che sapevamo già
Tutto è già qui
l’adesso e l’indomani
tutto è già qui
i torti, le ragioni
le grandi verità
e le speranze vuote
la voce che non sa per chi si spenderà
Ma oggi che era un giorno come tanti
hai preso le mie mani
e poi le hai messe sui miei fianchi
e io che ballare non l’ho fatto proprio mai
mi sono perduto in un valzer
che gira per noi
Tutto è già qui
nell’ombra delle cose
l’amore che verrà
le partenze e poi le attese
tutto è già qui
anche se non si vede
tutto è già qui e non si lascia dire
Ma oggi che era un giorno come tanti
hai preso le mie mani
e poi le hai messe sui tuoi fianchi
e io che ballare non l’ho fatto proprio mai
mi sono perduto in un valzer
che gira per noi
crois que ce que j’aime dans l’italien que n’ai pas appris ou si peu, juste assez avalé en passant pour lire les phrases sages d’un article, c’est tout ce que ne comprends pas vraiment mais hume dès que la langue se fait un peu plus personnelle
(et partage vos premiers mots)
Je ne connaissais pas ce chanteur italien… mais il m’en rappelle un autre !
@brigetoun & Dominique Hasselmann : merci de vos passages et de vos commentaires (@DH : on l’a applaudi à l’Alhambra -non loin de chez toi- il se présentait en français Jean Marie Tête, et en riant… mais voilà deux mois qu’il a disparu)