Bientôt le cent mars (alias 9 juin)
(vaguement aperçu, le départ d’un type assez infatué mais qui faisait une émission de chansons françaises à la radio, et ce n’est jamais bon, ce genre de départ -moitié galeux, quand tu nous tiens : le type en question avait produit une lettre l’année dernière pendant la grève à radio france, laquelle n’a probablement pas trop eue l »‘heur de plaire dans le bureau couvert de palissandre) (beurk)
Je ne sais pas trop pourquoi (mais si, c’est pour écrire, juste) mais je participe à l’atelier d’écriture en ligne d’été proposé par François Bon (on l’en remercie ici encore) – comme l’année dernière où je disposai du pseudo de « M le maudit » (Fritz Lang, 1933) – et l’exercice 1 tient de l’inventaire de bureau (il y avait, au 4 du Sébastopol, le magasin de J.B. une amie de TNPPI (qui fumait comme une cheminée en hiver, buvait comme une washingue, riait comme un sapeur et allait dévaster son compte en banque au casino d’Enghien…) où il m’est arrivé de travailler à l’inventaire et puisqu’il s’agissait d’une papeterie spécialisée (dans les ordonnaces administratives, si je me souviens) de compter (aussi) les (boites de) crayons, gommes, bics et autres ustensiles, blocs cahiers carnets tant de choses de bureau)
(l’une des merveilles du monde s’est manifestée hier -le bailleur- me demandant par téléphone de lui procurer une « attestation »-signée de ma main, non de mon sang quand même- autorisant le déblai de l’appartement) ce qui a un peu à voir avec l’exercice demandé (ici, l’une des couleurs -bicolore d’ailleurs mais n’importe – ayant servi à l’élaboration de la contribution (c’est Maurice le prénom à Grévisse; y manque un « s » à déploiement(s); un « e » à affublé(e); un autre « s » à vente(s); ce sera tout pour les coquilles malheureuses mais qui indiquent tout de même une certaine presse dans l’écriture, et la relecture, du texte non titré « L’amour de la nature »).
Je vais donc pouvoir te retrouver dans l’atelier de François Bon… si j’arrive à m’y repérer car j’ai l’impression qu’il y a comme une inondation soudaine par les textes !