Quatre vingt dix vingt neuf
cinéma « Julieta » (Almodovar, 2016) (Pedro) (ça va encore -trop de trous dans le scénario, notamment l’absence de sa fille à l’enterrement de son père qui a péri en mer -lourd de chez lourd quand même parfois -mais les filles sont extra – une espèce de libido sauvage comme Almodovar – qui ne signe plus son prénom – mais son frère à la prod, si -semble la goûter -inutile et prétentieuse) (Augustin)
« Money monster » (Jodie Foster, 2016) (hollywoodien -à peine- divertissant mais Jodie Foster à la réalisation quand même – en réalité c’est le méchant qui doit mourir, Jodie)(zéro scène de lit)
en dvd « The limits of control« (Jim Jarmusch) (réjouissant, vaguement une erreur de distribution avec Isaac de Bankolé j’ai trouvé)
(il semble que le Romain D. soit hors de danger (la chronique indique que « ses jours ne sont pas en danger » mais qu’il est plongé « en sédation profonde »); vu d’autres exactions abjectes de la police-la force de l’ordre- qui s’en donne à coeur-joie dans les manifestations, on ne veut pas en prendre l’habitude mais les noms comme Charonne, comme Malik Oussékine, Rémi Fraisse et bien d’autres font en sorte de nous le rappeler)
(les images de la marche et du voyage pour aller au cinéma)
Almodovar et les Panama papers : sans doute un coup de pub… 🙂
@Dominique Hasselmann : un producteur doit savoir faire travailler son argent. Aussi. :°))