Un quatre
hier, après avoir un peu trop bu de vin blanc et lu mon texte pour demain
(en face il y avait ce type dans les bleus mais la photo est ratée, je le pose dans les rouges c’est comme ça)
je suis allé au séminaire qui n’a pas eu lieu tandis qu’on défilait dans les rues contre la loi scélérate qui est faite contre le travail et sa reconnaissance par le monde, pour le profit de certains et contre les droits de tous les autres (j’ai comme le sentiment qu’on se retrouve aux premiers temps de l’industrie les années trente du dix neuvième wtf siècle et qu’à nouveau il va falloir se battre pour obtenir une dignité que cette saleté de mouvement des entreprises s’échine à vouloir salir) j’ai marché dans les rues (mais je ne puis poser de photos) les cerisiers du Japon étaient en fleurs, il pleuvait et toute espérance s’est échappée (rien à voir : j’ai lu « Le Météorologue » d’Olivier Rolin, je lis « L’élégance du hérisson » de Muriel Barbery, j’ai vu en DVD un « Birdman » (Alejandro González Iñárritu, 2014) très maniéré qui n’arrive pas au bas du talon d' »Opening Night » (John Cassavetes, 1977)
J’ai cru que tu avais fait une photo carrée… :-))