Onze quatre
Vu en DVD « Paysage dans le brouillard » (Théodoros Angélopoulos, 1988) terrible, j’en ai fait un cauchemar horrible (je crois à base de bête dépecée, je ne sais plus je l’ai oublié en me réveillant – immédiatement – il y a cette scène avec un cheval tiré par un tracteur qui rappelle « L’Oeuf du serpent » (Ingmar Bergman, 1977) en tous cas une horreur -pour amoindrir la peine, une théorie d’éclairs
hier bossant rencontré l’huile avec des chaussures à ne pas croire, et taleur en attendant ma fille (j’ai déjeuné avec elle) recroisé la même (huile jveux dire) qui allait déjeuner au café du coin de la grande maison (grande brune bouclée embrassades grands gestes connivents : j’adore cet espionnage-là)
en dédicace à l’Employée aux écritures, cette terrasse, qui donne sur le jardin de la maison (c’est la photo de la maison de Porto de l’affiche du film recommandé hier)
grand souvenir un peu flou ce film
faudrait que je le revoie
Une grande huile avec une chaussure olive ?
Rien compris à cette histoire d’huile mais est-ce que j’ai bon au moins sur le café du coin de la grande maison: Les Ondes?
Merci pour la terrasse (et les dahlias, vous verrez : magnifique)