Vingt neuf un deux trois
(non, mais c’est compliqué ces histoires de dates)
- j’ai repéré le chemin emprunté par l’héroïne de la série « travailler au loin », ou alors ailleurs d’ailleurs (il est temps que je m’y mette, mais j’ai déjà commencé, je continue je creuse j’essaye, c’est pour la résidence) ou encore à Paris, ces allers et retours journaliers, pendulaires, navetteurs, tous les jours sans doute ou peut-être moins (penser à ce qui peut se passer pendant le week-end), des choses à comprendre, à mettre au point, à préciser
cette « cité de Londres » se trouve rue de Chateaudun, Paris 9 – elle (notre héroïne, pas la cité) travaille rue de Rome, dans un magasin de musique, je crois – et donc, j’ai pris la ligne qui va d’Olympiades (ça n’existe que dans le glossaire de la wtf régie) à Saint-Lazare : une ligne qui ne vit que par les machines, tout comme celle qui va de la Défense à Vincennes en son château, et donc nous sommes des dizaines de milliers à confier nos vies à ces robots
on dira « même pas peur », sans doute
- j’apprends immédiatement que l’ectoplasme recule sur la « loi sur le travail » afin de tenter de désamorcer la prise de conscience (virtuelle certes) qui produisait une mobilisation pour le 9 mars
(à l’image : machin au salon avec truc derrière lui et derrière probablement bidule) ce qui évoque la même stratégie tentée à chacune de ses soi-disant réformes)
- croisé ces officines dans la rue de B. en ses numéros deux cents et quelque, ça fait une jolie image : comme disait mon comptable (l’une des micro-merveilles du monde) (lequel n’a plus répondu à mes appels téléphoniques ni mails dès lors que j’ai tenté de le joindre après l’incendie -qu’il en soit ici gratifié d’une même mention que ces éditions-là) « il faut que tout le monde vive« , oui, sans doute enfin, peut-être
(en vrai j’en sais rien, mais la photo est là)
Sur la dernière photo, il est logique que l’on reçoive un certain signal.