Neuf trois
(on a été défilé, on n’était pas tout seul -j’ai repensé au onze janvier de l’année dernière, à la manifestation contre déchéance et état d’urgence, il y avait des fumées dans l’air, des chansons amusantes et des pétards des sifflets des « on n’en veut pas !! » à pas mal de sauces) trouvé cette carte (principe de précautions oblige et exige)
(c’est la Seine du côté de la résidence, là) (samedi là on va se balader sur la boucle face à Saint-Mammès, on fait Champagne-Vernoux, on va se marrer les pieds dans l’eau ptête…) (cependant que cette déchéance et cet état d’urgence iniques comme le sont ceux qui tentent de les promouvoir seront combattus dans la rue, ce jour-là) (en même temps le mot d’ordre vient tellement d’une instance force vive de la nation répugnante qu’il n’en est même pas question une demi-seconde)
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mieux que nous..
je rentre, pas très nombreux (pas nuls non plus, mais la majorité chômeuse n’était pas venue) si frigorifiés que ne gueulant même pas… abattement plein d’attente d’une étincelle
@brigetoun : on a l’impression, pourtant, que ça ne peut plus durer comme ça… restons éveillés et courage…. merci des passages et soutiens Brigitte
L’urgence, en son état, qui se prolonge sans que personne n’y fasse attention ou s’en inquiète… on s’habitue à tout et on comprend mieux la passivité du peuple lors de certaines circonstances historiques, avant que tout finisse par exploser, malgré cet état-là.