Vingt quatre deux
(je résiste à l’obligation -éthique- de porter à la connaissance du lecteur (et de la lectrice) l’émission mailistique d’une des merveilles du monde – en l’occurrence le chef de cabinet de la maire de Paris – on balance quand même – car la maire elle aussi a un cabinet imagine toi – qui m’éconduit fermement quoi que technocratiquement et statistiquement – encore que je ne sache pas exactement, étant lue et donnée la prose absconse employée, s’il s’agit d’un robot ou d’un être humain qui écrit…) hier c’était « Homeland » première partie (sous-titrée « avant la chute » cent soixante minutes quand même) (Abbas Fahdel, 2016) (la deuxième partie est sous-titrée « après la bataille« , cent soixante quatorze minutes quand même aussi) (on ira aussi) qui présente une famille irakienne (celle proche du réalisateur) dans cette tourmente inique qu’est cette guerre endurée par des enfants qui rient et qu’on aime (je passe discrétement sur le sort, la place, la posture laissée aux femmes, sauf durant le mariage qui est une séquence vraiment magnifique) (la séparation des genres est la plus triste des perspectives humaines, partagée pourtant dans bien des pays aveugles à eux-mêmes) : comme c’était au Louxor, on passe par la gare à l’aller
et au retour (à pied là)
(y’a pas tellement plus de point, tu me diras)