Dix sept
(hier soir, la venue de l’officier recruteur -pardon, non, de l’enquêteur de l’INSEE pour le recensement- on est tombés dedans apparemment- vers neuf heures du soir qui nous informe de son sixième ou septième passage) (« le questionnaire est très intuitif » d’autant qu’il semble obligatoire d’y répondre, comme dans toute bonne république (bananière) qui se respecte) (il n’a d’ailleurs jamais été question de possibilité de ne pas répoindre : ne pas l’évoquer est encore le meilleur moyen de l’oublier, hein) (j’ai acheté le journal qui tape les deux euros quarante : à ce prix-là, je serai riche et donc je dis au trio bnp FO) (c’est la fatigue qui me prend comme d’habitude vu que je dors mal, mais n’importe j’accroche et je serre les boulons) à l’image Benoît Vincent lors de sa lecture d’un extrait de Farigoule Bastard et de Climax (deux merveilles) qui pour la production du Général, fait comprendre aussi pourquoi, sur le « réseau social bien connu » mais quand même de m… nous disposons d’un mur, en tout et pour tout, et que tout ce que nous y collons appartient à ce mur et à ce FO « RSBC« ) (ce que j’en dis)
Ainsi se clôt la série (en 4 épisodes) qui retrace et remet en mémoire la venue le vingt trois janvier seize de ces quatre personnes formidables en la bibliothèque de Veneux-les-Sablons, à l’invitation du collectif L’AiR Nu pour le festival réalisé en résidence en communauté de communes Moret Seine et Loing.