Seize un seize
(fait beau mais c’est insuffisant) (looking for work : rien à glan(d)er) (hier soir ciné film tunisien-belge-français-émirats arabes unis -aide à l’écriture du scénario par le ciclic région centre tu vois- « A peine j’ouvre les yeux » (Leyla Bouzid, 2015) (Femis promotion 2011) qu’on salue déjà parce que c’est du bon cinéma ce qui intègre une bonne musique -chanter c’est pas facile hein – violent, mais parfois doux, une relation mère/fille comme on en voit peu -magnifique Ghalia Benali- cette gentillesse de l’amour, je la connais pour l’avoir vécue, sauf que je suis un garçon et que mère/fils c’est autre chose – assez libidinal mais n’importe : à voir) (komta : on verra lundi; expert : on a tout -tout tout tout – pointé) (mais le boulot punaize le boulot : réfléchir à VaL, vouloir y aller, le froid, la difficulté à vivre et à respirer, mais on affronte) (au café du coin Saint-Maur, l’amitié et sur l’immeuble d’en face, des alpinistes qui réparent) TNPPI hier « tu es merveilleux » me dit-elle, elle ne bouge presque plus mais c’est à moi qu’elle parle, dans ses yeux je vois des sentiments que j’aimerais ne pas tenir serrés contre moi, elle est là près de moi, ses cheveux blancs, ses dents fausses sur la table de nuit -je vois ma grand-mère-sa mère- qui me disait « qu’est-ce que je fais encore ici ya amri » voilà trente ans malou cheveux mauves – la vie l’hiver les yeux dans les yeux ma main dans les siennes