Quinze onze quinze
(on a été voir Spectre (Sam Mendes, 2015) et durant la séance, des gens se sont mis à courir dans la salle, début de panique, tout le monde descend et Daniel Craig reste seul sur l’écran…brrrr) (en même temps on est content que Phil fasse de l’arthrose)
je suis allé voir TNPPI qui m’a fait comme ça « je t’adore comme la sauce des pomodores », elle si mignonne, je lui ai donné ces fleurs, et revenant en marchant longuement (c’était vendredi après midi) j’ai trouvé cette officine qui m’a interpellé (« j’ai quitté la vie sans rancune/ j’aurais plus jamais mal aux dents » disait Georges Brassens) (en spécial dédicace au notulographe)
je commencerai donc la semaine avec le sourire, merci à ta dentiste, à TNPPI, à Georges Brassens… et à toi qui sais réunir et nous tendre le menu de nos vies, de bien jolis et délicats bouquets
Pas eu envie d’aller voir le dernier James Bond (ce Craig inexpressif et sans saveur me fait trop penser à Poutine)…
On avait préféré – c’était le soir du funeste vendredi 13 – le très beau film de Patricio Guzmán, « Le Bouton de nacre ».
A quelques minutes près on passait à pied devant « Le Petit Cambodge » et « Le Carillon »… mais la rue était déjà barrée, le crime perpétré (on ne verra tout ça qu’un peu plus tard à la télé, pas chez nous, puisque nous ne pouvions rentrer).