Sept dix quinze
Y’avait ce type là qui lisait son canard (on n’y entrave que pouic seulement on remarque la (wtf de) une
envahie telle une gale par la publicité, la moitié de l’espace (au minimum) : c’est beau, c’est grand , c’est généreux (à ce propos, vu un pauvre malheureux cadre sup qui annonçait leurs licenciements à deux mille neuf cents personnes se faire malmener et déchirer sa chemise : le monde du travail ? Non, celui de la finance… et le prime minister qui la ramène : quelle honte…) : j’allais en réu, je suis tombé sur ça
(oui, je l’ai un peu touillée) mais c’est l’automne qui vient, tant pis pour moi (la pluie, la haine et cette détestation devant ces ignobles), je continue, j’arrive chez moi pour trouver une lettre des impôts (que des malheurs)
(bah c’est pas si mal, les couleurs-c’est vrai qu’il n’y a pas le point) : je m’en fiche, je fonce