Oublier Paris #28
Je n’ai pas eu la chance de RH qui l’autre soir, sur le balcon… J’étais en voiture,
voilà tout.
Paris en août et en voiture, c’est une merveille.
Surtout la nuit
Les éclairs zébraient le ciel gris, pas un seul ne s’est laissé prendre, neuf heures peut-être
La rue, les éboueurs, les autobus, le monde, les pizzas et les bières, des gens jouent aux terrasses des cafés, loto ou cartes
Se promener, le vent frais, passent les jours
on court vers la « rentrée » (qui est jamais sorti ?), on continue à parcourir les rues, regarder les pavés, l’asphalte, la jungle
Revenant le soir, le ciel noir, le faisceau de la tour
(en entrée de blog, l’Institut du Monde Arabe)
se pâmer de ce ciel qui se pâme