Oublier Paris # 9
Rubrique(s) : Carnets de Pierre Cohen-Hadria / Oublier Paris / Ville (ma) vue du sol
11 juillet, 2010 0Après avoir écrit un
j’ai pris la rue où, sur un immeuble sans numéro, se trouve cette plaque :
puis m’en suis allé au café retrouver ma camarade Martine Sonnet.
En partant, j’ai légèrement et sans le savoir vraiment obliqué vers la le début de la rue de l’Abbé de l’épée (j’aime ce coin, ses arbres et son calme), puis dans la
au
se trouve celle de Milou pour les intimes :
Où est-il donc parti ensuite ? Je ne sais pas, peut-être avec son neveu, le natif d’Epinal, Marcel Mauss…
Il me semblait que, dans ces parages vivait Françoise Dolto, mais nulle part quelque souvenir…
Il était à peu près
et presque au coin, au
voici le poète, à nouveau, « les Passantes » ou « Le petit cheval » :
Suivant le même trottoir de la rue
cette plaque, doublée de cette autre :
qui prouve donc qu’en ville, n’importe qui voisine avec n’importe qui. Dans une certaine mesure. Ou une certaine classe. On en aura une preuve supplémentaire si on traverse la rue, d’ailleurs, au
par cette annotation :
Le « définitivement » peut donner à penser…
Et allant vers le croisement, à nouveau au
Sans doute en ai-je manqué… J’ai continué, sur le boulevard, doublé la rue Soufflot
Et là, sur le boulevard (quelle heure pouvait-il être ?) Saint Michel
le temps s’arrête, le frère du précédent
né aussi à Bergerac dont on aime le Cyrano…
On descend le boulevard, on reprend le métro