Je lis
Parfois, le truc me dégoûte : par exemple, les renvois d’ascenseur.
Celui de ces derniers jours correspond à une paye mensuelle de mille euros pendant une année pour deux mille cinq cents personnes (et ce n’est le retour sur investissement que d’un contribuable : on ne parle même pas des autres, type luxe, ou bois ou distribution alimentaire, j’en passe et des plus horribles; et ce n’est qu’une année).
Lorsque le petit commissionnaire rapportait ses enveloppes de kraft, le trésorier se frottait les mains.
Je mélange tout ? Oui, je préfère lire… Les turpitudes de notre monde.
Voici les quelques livres qui me tiennent hors de l’eau, hors de la défaite tout en indiquant par où ce monde s’abîme.
Je lis des romans, celui de mon frère (magnifique : sortie prévue en août)
et bien d’autres
ou encore
Je relis
car je veux essayer d’y consacrer un épisode du feuilleton « Oublier Paris ».
Ou encore, offert à ma fille par le libraire de Chartres
J’oublie, je vais au café
Je ramasse des billets pour la maison de la photographie
Je regarde le ciel et je ne veux plus penser : c’est les vacances…(?)