Amos Gitaï au palais de Tokyo
Un fils qui parle de son père (« une berceuse pour mon père »)
Un fils qui parle de son père (« une berceuse pour mon père »)
Rubrique(s) : Carnets de Pierre Cohen-Hadria
11 avril, 2011 Commentaires fermés sur Lou Ye au Jeu de Paumeà l’invitation d’Anne Kerlan, Lou Ye cinéaste chinois
What’s my line ? : Anne Savelli et quelque chose du cinéma
Lorsque le sage montre la lune…
Winter’s bone, un conte étasunien
Un (magnifique) ingénieur du son reçu par C. Ortùzar, dans le cadre du séminaire de C. Delage
Un film d’Yves Jeuland
un film de Denis Villeneuve, adapté de la pièce de Wajdi Mouawad
Une leçon de cinéma, entre fiction et documentaire
Les inspecteurs du travail
Rubrique(s) : Carnets de Pierre Cohen-Hadria
3 janvier, 2011 Commentaires fermés sur Une autre annéeComme ça, j’aime le cinéma (sur « Another Year », de Mike Leigh)
Rubrique(s) : Oublier Paris / Ville (ma) vue du sol
24 décembre, 2010 Commentaires fermés sur Oublier Paris #19la neige, la 11, la une la 12
Un film magnifique de Pedro Gonzalèz-Rubio.
Ce que j’aime le cinéma…
Nous sommes allés voir « les Rêves dansants »
Rubrique(s) : Carnets de Pierre Cohen-Hadria
6 septembre, 2010 Commentaires fermés sur William Kentridge au Jeu de PaumeParis, entre 11 et 17, samedi dernier.
Rubrique(s) : Oublier Paris / Ville (ma) vue du sol
18 juin, 2010 Commentaires fermés sur Oublier Paris # 4L’état des âmes dans les rues de Paris (le boulevard Raspail)
Rubrique(s) : Carnets de Pierre Cohen-Hadria
28 mai, 2010 Commentaires fermés sur Antoine Vitez, photographeC’est en se promenant un dimanche sur le boulevard qu’on passe devant une petite affiche…
Rubrique(s) : Carnets de Pierre Cohen-Hadria
24 mai, 2010 Commentaires fermés sur Formation continue (2)Nous avons à penser.
Lorsque le monde, tel qu’il est, bouge, nous avons à regarder dans quelle direction.
Parfois, je suis révolté mais là, la ficelle me semble un peu grosse : tout ça pour oublier la veste des régionales, c’est bas, c’est petit et c’est mesquin.
Jeudi, c’était le printemps, après on voterait, lundi bruiraient les résultats, grand chelem pour la France samedi ? Lundi ? On ne sait pas, on espère les deux, c’est comme ça.