2685 Mercredi 5 Mars 2025
le temps que j’arrive il avait déjà disparu
l’animal est amphibie
mais réapparaît bientôt (failli le manquer)
on recadre l’amical volatil
et pfuitttt il n’est plus là
replongeant – on n’a guère de patience – on s’en va – unique en son genre mais de retour sur les eaux – et dans les airs certainement – quelques lectures (la fin du livre de Ruth Klüger formidable, l’histoire d’action directe émeut mais ennuie, l’administration du protectorat tunisien des années 20, mais peu d’histoire italienne – marcher aller chercher ceci ou cela – continuer – et le soir
on sort de nuit
les lumières et le bras tremble
rhume carabiné actes manqués tentative d’épuisement avortée – pas réussi à trouver un lieu idoine – peut-être aujourd’hui (mais non, pas le temps) un jour peut-être
garder quelques traces de soi
Bernard Plossu en maison[s}témoin épisode 1
Un article de ma progéniture et de ses engagements (on salue d’autant que le 7 est une journée d’action pour l’université et l’enseignement supérieur)
au ciné Bonjour l’asile (Judith Davis, 2024) comédie grinçante (comme son premier film Tout ce qu’il me reste de la révolution (2018) – six ans … c’est un chemin difficile à emprunter) drôle roborative et politique – lutte des classes : toute une panoplie d’acteurs et d’actrices de seconds rôles – un peu les mêmes, un peu différents (surtout côté masculin) – une peinture du monde contemporain (toute la scène d’entrée (le voyage) : formidablement rendue) et de ses contradictions – belle réussite (mais 12 spectareur.es dans la salle…)
superbes les virgules de lumière !
bravo et bon courage à la progéniture
contente que vous ayez aimé le film – ai ri de bon coeur et jaune pendant les 3/4 mais me suis lassée sur la distance – mon manque de tonus
je file lire l’article, merci pour les traces dans la nuit et les voyages surprises sous l’eau ))
@brigitte celerier : oui on rit – un peu de travers quand même… Merci à vous Brigitte
@cjeanney : Merci à toi