2641 Lundi 20 Janvier 2025
(« believe me or not » disent les étazuniens) (ou encore « it’s make my day » ou pour finir « to make a long story short ») des phrases toutes faites : il n’y avait aucune tentative d’abonder au météorisme ou au tympanisme ambiant lors de la préparation de ce mets délicieux (mais mets roboratif)
en réalité l’idée de départ était de faire pièce à la tête de veau que vont déguster semblent-ils les opposants au monarque (Saint-Just quand tu nous tiens etc.) – mais force est de constater (comme nous aimons à dire) que cet état du métabolisme correspond tout à fait avec l’honneur dû à la prise du pouvoir du tyran (c’est un bien vilain mot pour un bien odieux personnage) ce jour, dans quelques heures sous la neige ai-je cru discerner – tout à fait réussi en tous cas (le mets, parfaitement) – quel boulot…! – travail quand même à l’élaboration d’un texte pour Aldo (par images interposées aussi) afin d’expliciter autant que faire se pourra les « agissements »de la loge dite P2 Propaganda due (improprement nommée loge, qui n’avait rien de franche ni de maçonnique – osef sans doute un petit peu) dont le « grand maître » (on nomme là l’abject Licio Gelli) laissa tomber, du haut de sa superbe (dit-on) vers midi dans sa suite (317 crois-je me souvenir) de l’hôtel Excelsior – via Veneto à Rome car ça ne se refuse rien – « le plus dur est fait »
malgré le froid
lecture en cours du Pour que tu ne perdes pas dans le quartier dont un peu se déroule rue de Charonne (117 semble-t-il- je vérifierai) qui marque le coin du boulevard
et tout état de cause et grâce au cassoulet
et aux fleurs (au marché le matin tôt)
avec mes compliments
Il y a longtemps que je n’ai pas mangé un bon cassoulet : tu devrai ouvrir un petit restau… pour les amis ! 😉
@Dominique Hasselmann : c’est un métier – et l’âge m’en est passé… (c’était une première et fort probablement unique…) Mais merci à toi
j’apprends tardivement que délicieux va souvent avec roboratif… même si là c’est plein de choses que ne puis manger en sécurité, si beau que tentant
et bravo pour le courage de tenter de comprendre vraiment la loge qui en effet avait peu d’une loge (hormis le goût du secret, tout de même non ?)
@brigitte celerier : je crois plus que par goût, ce serait par nécessité – je n’y connais que peu (j’apprends…) – merci de vos encouragements Brigitte