HQV 2604 Mercredi 11 Décembre 2024
Rubrique(s) : Carnets de Pierre Cohen-Hadria / Hôtels Modiano / L'Employé aux écritures
11 décembre, 2024 5
il y a ici quelques occurrences hôtelières (le lien tourne sur lui-même et vient à ce billet) de l’auteur nobélisé (ce que c’est vilain) (inutile de le rappeler à tout bout de champ – c’est venu je le laisse – l’inventeur de la dynamite ou je délire ? mais partir dans ce sens obère la surprise – c’est venu je le laisse) (pas couché avant trois, levé à sept – l’hiver cette plaie – noël et les fêtes cette torture : la ville bruisse des achats sont tous et toutes avec leurs sacs-sandwich estampillés de « grandes marques » comme on aime à dire) j’ai quand même marché pas mal – il y avait en contrebas l’artiste dont on parlait hier, qui regardait les constitutions de l’endroit
je la vis de face, le temps de préparer le nino – il ne s’agit que de l’ouvrir, et sélectionner l’appareil-photo de treize millions de pixels (trente secondes : paparazzo adieu) elle s’était enfuie
je lui fis parvenir le cliché (« oui c’était moi… »dit-elle) – j’avais croisé ces exemplaires en bal (acronyme (en) minuscule(s) de boite à livres comme boites aux lettres)
jamais lue (mais qui donne cependant Alice dans les villes) (c’est plus pour fille crois-je déceler) (plutôt club des 5 ou clan des 7) marchant au marché (un arrêt chez Max pour réparation de sacs à dos (5 e) effectuée ce jour) salade/pdt/darne de mérou/pain – puis revenant broyant toujours autant le même noir depuis quelques jours (la raison en est difficile à cerner – d’ailleurs, les cernes sont de la couleur et de la teinte) – déposant les courses, me saisissant du brunetti fort en stéréotypes pour le rapporter et en chercher un autre, trouvé cette danseuse (le lecteur n’aura pas le prénom d’icelle, non plus que son patronyme – il y en a, cependant, un wagon d’autres…)
édité chez le voleur (de toponyme, certes, mais pas uniquement) faisant tourner le Modern Love du bowie – je le lus et la merveille du jour fut que le seul hôtel mentionné est celui où vivait TNPPI (certes, pas seulement)
– il y a aussi mention de la rue de l’Ermitage non du 20 mais de S2LF (les noms de rues, Godot-de-Mauroy où vivait Gérard V. l’ami sexologue à la Mona d’épouse; Olivier-Métra, juste là – et bien d’autres, petites et inconnues – et le café Le trou dans le mur et bien d’autres encore, mais d’hôtel, un, unique – un attrait exceptionnel et simple – ce qui continuait la joie de lire – une espèce de concentré – après, que l’hôtel ne soit pas en travaux montre un anachronisme, ce qui va parfaitement avec la narration entreprise
Confidence sur mes jeunes lectures : j’ai toujours méprisé Le club des 5 mais je ne crachais pas sur Alice (dont je découvre grâce à vous la désormais couverture souple)
un sexologue vivant dans la rue fréquentée par ces dames (gentilles disait ma sainte mère elles se proposent pour garder les enfants élèves de l’école privée pour enfants sourds que fréquentait ma sœur s’ils sont libérés un peu en avance) pas mal !
» d’ailleurs, les cernes sont de la couleur et de la teinte) » oui je partage cela ami
@L’employée aux écritures : oui, « le clan des 7 » avait plus de charisme – après pour la couverture… C’est un plaisir.Merci à vous Employée
@brigitte celerier : oui, directement du producteur au consommateur… Merci à vous Brigitte
adopté hier Rue des Boutiques obscures dans une caisse devant chez l’antiquaire de la rue du Conti, bientôt autre chose, appartements peut-être, que l’hôtel emblématique de Pau.
Dans la Verte, j’aimais bien aussi Les six compagnons, une série qui m’a fait rêver de Lyon que je ne connais toujours pas.