B2TS Lesdiguières (2601) (Dimanche 8 Décembre 2024)
B2TS feuilleton pendant le week end paraissant le plus souvent le dimanche
puisque j’étais en avance (contrairement à aujourd’hui, mais c’est aujourd’hui dimanche…), j’ai fait un tour dans le quartier (comme dirait Patriiiiick) – allant vers Saint-Paul (son église sa bouche de métro et donc sa rue) (mais je n’entre pas en église) (encore que ça puisse dépendre) il y avait
un peu de soleil en effet – on aime ça – sans trop sourire
une petite exposition
(I still can’t remember where/ or how I lost my way chante en même temps Neil Young -je peux toujours pas me souvenir de où ni quand j’ai perdu mon chemin) assez dégradée l’expo
le prestige (mis à mal) de l’uniforme sans doute
petit chemin
châtaignier B2TS – quand on aime on ne compte pas chantait cent mille volts, mais bien croisée dix fois – et puis
preuve encore de
l’avidité imbécile de mes contemporain.es
au ciné Direct Action (Guillaume Cailleau et Ben Russell, 2024) trois heures trente peut-être, une cinquantaines de plans-séquences sans doute sans travelling, mais parfait, tout simplement (pour un documentaire, peut-être – illustration aussi de la merveilleuse capacité de l’humanité de vivre avec la nature ( la sienne et celle du monde) et de l’odieuse destruction par l’État ou ce qui en tient lieu des constructions, à Notre-Dame-des-Landes et la façon exécrable et ignoble qu’il a de maintenir un ordre (les images de manifestation de Sainte-Solines donnent envie de vomir : cette honte…) privilège qu’on ne lui accorde plus (cet ectoplasme qui est son maintien, et cette institution qui est censé nous défendre…) (la chanson, assez piètre pourtant, qui fait un hymne à ce pays, a quelque chose de très contemporain, notamment ses premiers mots – quand la loi est indigne, on se doit de la combattre) (2601 jours de loi travail… il commence à être temps) – le film est magnifique, et les acteurs formidables.
mon excuse pou être aussi pagailleuse de ce qu’ils font du mot ordre
merci pour l’exposition
@brigitte celerier : merci à vous et bon dimanche (pour la pagaille, ils (parce que moins elles – encore que…) l’auront cherchée)