Pendant le weekend

2575 Mardi 12 Novembre 2024

 

 

 

je me suis vaguement demandé (au georges vé ? ritz ? quelque chose de moins tape-à-l’œil ?) où descendaient (comme on dit) bob dylan et sa suite (ou sa clique) (un quarteron de musiciens à la retraite ?) entre ses deux concerts des 24 et 25 octobre dernier (ça se passait dans le neuf deux, 2B sur l’île seguin – ex-régie renault je suppose –  le quai georges gorse – et puis j’ai arrêté)
j’ai commencé à rédiger le truc de pierres
préparé le dîner (lentilles à la tomate filet mignon précédés d’un velouté de topinambours – en vrai les lentilles et pour partie la viande – salade fromages crumble aux pommes – quel menu on s’y croirait)
j’aurais aussi pu me demander où ils avaient mangé – room service
lessive de torchons
lecture pour L’AiR Nu (page 48 d’Ovni 78) – j’aurais pu choisir quelques pages de Péquenaude (Juliette Rousseau, Cambourakis) mais j’azimute pas mal ces temps-ci bien que la rédaction n’avance guère – je me dis que je me documente en lisant, je pratique parfois la chronologie, j’écris vaguement un truc ici sur une jambisation (le mode opératoire des brigadistes : tirer dans les jambes de leurs ennemis), là sur un attentat – on n’était pas si loin de la guerre civile
vu dans le canard qu’on menaçait de mort des gens de la lfi (le fascisme ne passera cependant pas) (on peut toujours aller répétant ce type de slogan, l’horreur abjecte est partout : vaguement le sentiment de me mettre en danger, mais l’écrire c’est le faire exister…) (il n’est pas aisé d’être paranoïaque) ne pas l’écrire serait s’aveugler
no passaran !
un peu de billet pour la maison[s]témoin tout en préparant celui de demain
lecture du block note d’archives
et puis passant par jerry schatzberg (en rêve me semble-t-il bien) (relevant qu’il est l’auteur de l’image figurant sur la pochette de blonde on blonde dudit bob)
pour se souvenir

ces deux images posées au journal d’atelier

venant de

ou l’effacement du mannequin (ce qui est le thème sujet objet du scénario (extra) de ce portrait d’une enfant déchue (1970), premier film dudit chroniqué par claude beylie en son temps (dans la revue écran)

 

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1 Comment

    admire ce que produisez :-). et pour Aldo en fait vous emmagasinez
    je suppose que la pierre c’est pour l’atelier… pas encore regardé, suis venue à bout du 9 et voulais vous lire, vous et d’autres mais pas eu le temps hier et aujourd’hui ça s’annonce mal (révolte carcasse et programme d’obligations extérieures – rien de terrible mais..)
    formidable le block-not, cette façon qu’elle a toujours de prendre un petit détour pour dire le grave

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