2549 Jeudi 17 Octobre 2024

j’ai fait parvenir un micro-chapitre (mille mots six mille caractères) à l’instance supérieure, laquelle s’en sert pour vérifier des données dites objectives (comme si ça pouvait exister) et va lui voir proposer à la relecture (lecture tout court d’ailleurs) (lorsqu’on propose à un dictionnaire des synonymes l’énoncé de ladite instance, on obtient « affection simulée ») (c’est à peu près tout dire) : j’informerai le lectorat des suites – s’il en est – hier sur le canal passait un pousseur

il était servi par deux professionnels (petits métiers)

appareillés, certes – doucement le matin, pas trop fort l’après-midi est ma devise

le vaisseau s’intitulait Auber (et d’ailleurs c’était sa direction) – on a marché pas mal, arrivée là

un endroit que j’aime – marcher encore après un verre (eau pétillante – quelque chose comme le désespoir qui point – fort heureusement il faisait beau – sans doute encore marcher (j’avais en tête cette chanson de Frankie « that’s life » chantée lors du Joker 2 pas si mal (Todd Philips, 2024) (blockbuster certes warner sans doute mais quand même Gaga/Phoenix assurent assez encore – quand même elle et lui se regarderaient jouer) (près de 800 000 entrées france quand même) qui fait

I’ve been a puppet, a pauper, a pirate, a poet
A pawn and a king
I’ve been up and down and over and out
And I know one thing
Each time I find myself
Flat on my face
I pick myself up and get
Back in the race

de retour dans la course – certes, oui –
rue du Pont-Louis-Philippe (enquêtée poubelle dans les années soixante-dix – la bibliothèque qui jouxte les hlm de luxe) et là

topique (Simone – et Marceline – et B2TS – et mon amie) – ce matin après une nuit de cauchemars (je les ai oubliés)

dans le poste Women do cry (Mina Mileva et Vesela Kazakova, 2020) (bulgare (franco)) – (j’ai cessé assez vite le visionnage, j’avais des trucs à faire – mais ça avait force de sincérité radicale (quelque chose – à voir) – réalisé par deux femmes, dont les sœurs sont en distribution –  cette photo volée

lecture de Nos mères (Huguette se change en Céline – condition humaine – formidable correspondance épistolaire entre elle et Simone de Beauvoir – celle-ci tellement empathique comme on sent qu’elle l’était avec ses sœurs… extra)