Pendant le weekend

2547 Mardi 15 Octobre 2024

 

 

 

le matin gris et pluvieux – crachin sans pain frais –

le pense-bête idiot est annoncé – tandis que sur la route les camions par centaines six essieux, et comment va le train ? – cinquante à l’heure sur un périphérique fluide et tranquille (serait-il possible qu’en allant moins vite on rallie plus rapidement notre destination ?) (cette municipalité a le don de l’oxymore – l’abrutie de la culture ne ferait sans doute guère moins pire) un peu de soleil ? eau froide ou pas c’est non, tandis que rouillent les prunus

un entretien avec le ministre de l’intérieur communiste du shadow cabinet d’andreotti – le type se prénomme Ugo, indique que des puissances étrangères ne le sont pas au rapt (la théorie du complot, les puissances de l’axe, le tigre en papier et tout le reste à l’avenant) , que celui-ci a été perpétré par des dizaines de personnes et que les choses secrètes doivent le rester – les entretiens avec les hommes (et les femmes du reste) politiques sont repus de truismes – continuer quand même

apap entre en protocole – nuit de terreur (osefc)

 

au ciné Quand vient l’automne (François Ozon, 2024) (osefc aussi) (ce n’est peut-être pas sans relation car qui saurait dire l’influence du cinéma sur les rêves et les éveils ? Nulle ?) (sans doute dans ce film y a-t-il un scénario – ce qui n’est pas si courant – mais les turpitudes d’ex-respectueuses (comment être sûr.es de la paternité de leurs ouailles ?) me sont assez indifférentes – Hélène Vincent (elle tape dix piges de plus que le rédacteur) assure cependant (pratiquement de tous les plans) tout comme Josiane Balasko (trois de plus – qui en fait quand même des livres) (non, mais décidément Ozon non)

 

 

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2 Comments

    oui, il y a le beauté du prunus même rouillé (ou parce que) et Hélène Vincent et Josiane Balasko – le monde me fait pleurer y compris sur les mauvais

  • @brigitte celerier : il y a de quoi, mais ne pas trop se donner pour lui de peine : il s’en fiche et va son chemin tortueux et sanguinaire… Merci à vous, Brigitte

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