2463 Dimanche 21 Juillet 2024
convalescence – peu de marche, des hélicos tournent – lecture (autrement années de « plomb » – de « cuivre » dit Erri De Lucca (j’ai la référence à trouver), de bronze : ce ne serait pas mal non plus et les autres livres reparcourus – le travail) en atelier les images : le tableau dans le bureau de Dalla Chiesa
et la carte postale envoyée à Barbara par « son » Mario
(Turner) – il s’agit juste de belles images (c’est un peu crypté – c’est juste un exercice, je ferai une page spéciale pour cet atelier plus tard je suppose) (les cartes postales j’adore…) – où commence le réel, où s’arrête la fiction ? c’est difficile à déceler – mais tout prête à développements, détournements, interprétations – continuons tranquillement (j’y vais après) (en tout cas, dans cet exercice tout en est : la panthère est celle que mon grand-père reçut lors de je ne sais quelle occasion par le barreau de Tunis, les alliances fondues est pure invention – mais les chansons écoutées sont citées quelque part quand même…)
quelque part encore mais dans la chaleur Gaza mon amour (Tarzan et Arab Nasser (si ce ne sont pas des pseudonymes, ça y va quand même), 2020) parce que Hiam Abbass, certes – assez burlesque (un pêcheur gazaouï rapporte sur terre une statue d’Apollon dans son plus simple appareil et au pénis érigé – ça crée quelque remous – par ailleurs (c’est une façon de parler) il veut se marier avec la belle veuve et couturière, sa voisine…) (symbolique en… diable) (une production œcuménico-cosmopolite (par ordre alphabétique) franco-germano-palestino-portugo-quatarienne)
orage sur la ville, vais peut être tout annuler pour écrire si yeux et fatigue maouss m’y autorisent
un peu burlesque oui mais si bien le pêcheur gazaoui (sais plus où l’ai vu… à Lambert je crois)
un mot qui me fait plaisir :convalescence)
@brigitte celerier : lu votre 28 – le mystère… oui… Merci à vous