2454 Vendredi 12 Juillet 2024

pas réussi – les images à mettre en mots pour l’atelier, la musique pour tenter d’oublier, et rien ne se passe – marcher pas mal – on installe (le pont du Caroussel fermé aux autos entraîne de magnifiques embouteillages – les rues les travaux les blocs de béton réalisent de sublimes empêchements à la circulation – toutes ces machines à l’arrêt vous a quelque chose de merveilleux et de suprêmement affligeant, un tel gâchis…)

il ne faut pas s’inquiéter outre mesure, la police est sur le pied de guerre (« nous sommes en guerre » disait le minuscule jésuite hypocrite) – passons

aller revoir E. qui s’en va – puis recourir ici : la déchéance du sport

non mais c’est difficile, la colle, la pluie, le temps tout ça joue contre les dispositions et les effets s’éteignent – ça ne doit sans doute pas s’improviser – toujours des difficultés à prendre en photo les bulgares qui récupèrent les gros blancs et les meubles usagés illustrant encore ce gâchis insensé

ici le paparazzo tentait de saisir (l’effet de surprise tsais) quelque chose du travail mais la porte était fermée

on n’avait pas remis la plaque à Charlot et d’autres

sur cet emplacement un fil (c’était mieux avant

ma sensation particulièrement vide – le monde

la lourdeur des affects – l’enfer pratiquement mais sobre et sans le moindre espoir

de retour – sans plus

il y eut des jours meilleurs

il y avait en arrivant une nouvelle façon d’accommoder les fruits napoléon

on clafoutit…

en dvd (trouvé dans la rue) La comtesse aux pieds nus (Joseph Mankiewicz, 1954) qui a peu vieilli