Pendant le weekend

2447 Vendredi 5 Juillet 2024

 

 

beaucoup de tristesse et de dégoût – on n’en a pas le droit, tu remarqueras – mes contemporain.es, quelle pitié…(0) – peu importe : la marche en avant et l’insomnie – en passant

rue du Dragon – ici je projette peut-être mais j’ai l’impression d’une dimension navrée dans le regard du roi – #444 quand même

quelle pitié… (1) il y avait aussi ce magnifique spécimen

l’officine était close (c’est le genre à n’ouvrir que l’après-midi uniquement (un vague souvenir de JB, l’amie de TNNPI – ou une autre qu’elle aidait à tenir un magasin d’antiquités rue de Verneuil), aurais-je bravé ma timidité pour entrer en demander le coût ? Qui peut savoir… (si un jour, je présume nombre àtrois chiffres -pas certain que le premier soit un 1) Ici ce collage contemporain (qui brise l’harmonie du lieu – quelque chose de la nausée et de la convention)

hein quelle pitié…(2) ! (il se décolle ça va aller) – on avançait quand même

il faisait un peu froid – j’ai beaucoup aimé cependant cette scène de rue

tu sais quoi, je marche et je rencontre parfois de drôles de choses – ici, en spéciale dédicace à l’Employée aux écritures : quelque chose de la voirie et de sa poétique sans doute… ?

quelque chose de tellement amicale (presque de l’amour, non ?) dans le chevauchement des pieds ronds – ici cette merveille (je l’aurais bien emmenée sous mon bras mais ça pesait un âne – deux ou trois ou quatre même – mort(s) – j’en discutai avec une collègue marcheuse m’a-t-il semblé : nous y mettant à deux on ne parvint pas à le bouger…)

quelle pitié… (3) – tant pis me dis-je affrontant la traversée du 3° arrondissement – quelle magnificence dans l’utilité de l’objet – il y eut ensuite cette variation

puis cette autre – l’usuel standard

et ici incluant variante et standard

(onéreuse, certes)

et puis pour finir, avec mes compliments (bien qu’en nombre pair…) (quelle pitié… (4))

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4 Comments

    Deuxième photo : beau portrait du Prince, médaillé et en uniforme militaire (il adore ça inconsciemment), et maintenant il va monter au front contre ce qu’il a lui-même créé… 🙂

  • On ne célèbrera jamais assez le potentiel compassionnel des lampadaires mais vous l’avez parfaitement saisi !

  • @Dominique Hasselmann : ah le prestige de l’uniforme…. Merci à toi

  • @L’employée aux écritures : merci du compliment, Employée. Et du passage…