Pendant le weekend

Carnet de voyage(s) #144 quinquiès

 

 

(les cartels qui expliquent (peu ou pas) les images ne sont pas traduits : avec mes excuses – ils renseignent cependant sur leurs auteur.es et leurs nationalités)
dernière étape Sparte

une bien belle étape

– on y apprend cependant

la discipline de fer qui y régnait – on ne sait jamais quand on arrive – elle se trouve loin, au creux de ce Péloponèse, dans le creux de la paume de la main quelque chose – chercher longuement le musée de l’huile d’olive – quelque part en ville – marcher encore (loin, je ne me souviens plus très bien – c’est que des choses se sont depuis passé – ça ne nécessite point de changer le cours des carnets, mais tout de même, ça occupe l’esprit) – il était par ici

dans une ancienne usine d’électricité fondée par des frères

ils étaient cinq, ils se tirèrent plus ou moins dans les pattes – Papadolias brothers (ici, en grec et en anglais – sinon, point de salut)

des animations, des broyeurs de fruits, des réceptacles, des techniques (j’ai sûrement appris des trucs sur l’huile, mais j’ai (déjà) tout oublié) puis une exposition temporaire et photographique – des images et des cartels

que je livre ici

(ce sont des expériences personnelles des photographes)

quelque relation avec ce magnifique liquide

des images qu’on aurait aimé faire

des fruits à nouveau

grenades*

bientôt on s’en ira

bien belle présentation – on passe – j’ai adoré y venir quand même – on joue au ballon

une ville sans trop de prétentions, calme apparemment – on monte sur les hauteurs , là se trouvait la vieille ville

cette mer d’oliviers

entourée de montagnes (on distingue la route qui s’en échappe)

ville blanche

particulière spéciale

et puis le lendemain matin – il faut toujours que ça finisse –

on s’en va

il est temps – aux abords d’Athènes des embouteillages monstres – on a manqué l’embranchement de l’Attika Oddos (route qui contourne la ville et mène à  l’aéroport) on s’est perdu, fourvoyé – le loueur de voiture s’est vaguement impatienté – à peine une heure de retard – une heure, plus une autre de décalage horaire – plus encore deux ou trois – et puis désormais orné de totems rouges moches numérotés nuls : Orly

regarder ailleurs

comme s’il s’agissait du dernier voyage en avion
back in Babylone…

(*) : les grenades, ma préférée

 

Bon dimanche sous la pluie , ici

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4 Comments

    Un voyage… spartiate ! ‘Dans la ville blanche’, mais pas en Suisse…

    Huile d’olive : je me demande s’il existe un musée de ce type en Provence. 🙂

  • je me permets d’encombrer pour dire merci (un désir cette ville, ce pays, qui restera désir)
    manque juste l’odeur si forte qu’on ne sait si elle est atroce de l’approche du pressoir (souvenirs varois)

  • @brigitte celerier : vous n’encombrez jamais. Merci de passer.

  • @Dominique Hasselmann : aucune idée. Bonne journée quand même (et merci de passer)