2420 Samedi 8 Juin 2024

un bulgare

quelques livres (dont celui des « stars » provenant de la bibliothèque de Lille – 20 euros quand même et annoncé en bon état : annoté que c’en est à pleurer illisible – le monde est bondé d’imbéciles (maudits soient ceux qui écrivent (dans) des livres – celles aussi, foutre) qui (cependant) suffisent à mon bonheur

une espèce de lapin des voisins du dessous (un houmos parfait cependant)
une première disparition (quand je pense à ce qui se passe dans ce pays, et ce qui s’y est passé, je me dis que les »peuples » (jte parle même pas des « nations »…) n’ont décidément aucune dignité)

et donc une sortie cinéma (après celle du marché de la marche,  des courses) où on découvrit une image de NJB

(portée au groupe) puis rue Coustou (de modianotique mémoire) un salon porté à l’invent’hair (en hommage à l’artiste défunt)

augmenté d’un auto-portrait automatique involontaire de l’opérateur

et puis la journée s’achève (tandis que les voisins du dessus font tourner leurs WTF machines sans gêne à laver sécher ou autres usages irrespectueux)  (FO)

au studio 28 Le tableau volé (Pascal Bonitzer, 2024) (j’aime bien les acteurs – sont bien, vraiment : Louise Chevillotte (déjà rien que le prénom…) (qui était aussi celui de ma grand-mère) Alex Lutz (qui était bien aussi en prof de chant ou en Gilbert je ne sais plus) ma chouchoutte Léa Drucker (prestation niveau zéro cependant : le rôle de la potiche – à voile et à vapeur, certes – inique) et les autres mais un scénario attendu et venu (léger lourdement placements de produits: « regarde, public, j’ai tout compris » indiquent les différents panneaux publicitaires – à gerber) osef bof (trois cents mille entrées quand même…)