12 images au Petit-Thouars (B2TS)
B2TS (back to the street) une série pendant le week-end (le dimanche surtout) de photos présentant des photos elles-mêmes collées sur un mur (au début, il ceignait l’hôpital Saint-Louis, rue Bichat; puis vint Léon Jouhaux, puis d’autres lieux encore (Château-Landon, rue Louis Blanc) et d’autres encore – j’ai oublié (pas le lien). Ici, dans le 3, près de la mairie et du Carreau du temple.
promenade en ville (mais rive droite hein) (une magnifique chanson entendue hier, je ne m’en souvenais plus, indique exactement ce qu’on pense des rives à Paris, il s’agit des Ricochets (Georges Brassens qui passe dans cette saloperie de wtf poste de radio au rabais au prétexte que « c’est l’été » : Fuck off) pour acheter des espadrilles (la vendeuse front national « il ne se passe rien, on ferme dans les dom-tom parce que ça bouge trop et qu’on veut les contraindre ») et un poste de radio (je rassure le lectorat, les espadrilles ne sont pas pour mes pieds) quarante euros (il est recommandé de lire le mode d’emploi pour programmer l’objet, et au besoin, de disposer d’un doctorat d’informatique) (on a encore le droit de rire) (paraît que ça manifestait hier contre la vaxination : que ce monde est con…) vu sur la place de la République une quinzaine de cars de flics (acab comme il se doit) mais avant ici
au coin de cette rue (il s’agit d’une école maternelle et/ou primaire) image de août 2020
on aperçoit les douze cadres/images à hauteur de regard de môme…) la même en mai 2019
il n’y en a point, c’est dommage – douze images de B2TS : des enfants qui tiennent la pose –
quelque chose de la capture : le regard franc ou direct c’est comme tu préfères, les bras lâchés (les paires de chaussures sont différentes, les coupes de cheveux aussi)
on en avait déjà croisé un – l’élégance d’un mariage certainement – quelque chose d’excessif ou je délire ? – j’aime bien la tenue du bras gauche de celui de droite – quelque chose d’un clown sans doute pour le téléphoniste-
mes préférées ,la main gauche de celle de gauche sur l’épaule de celle de droite, les sourires (adorables)
une exposition pour enfants, sans doute – quelque chose de la représentation qui ne me plaît pas –
elle en tout cas s’en amuse
elle moins – mais j’aime beaucoup ses tongues
alors lui c’est la chance (outre son air curieux) il se tient exactement où passe mon (le) personnage de l’épisode 6 de l’atelier : au fond, l’immeuble marque à gauche l’entrée de la rue de Montreuil, à droite le faubourg – il pleut, certes –
no comment
non plus
qu’est-ce que tu nous veux, toi ? Juste une image…
elle curieuse, lui heureux – sincères surtout
pour finir l’une heureuse et l’autre moins dupe…
Bon dimanche
que ce monde est con OUI
mais il y a le temps où les enfants ne sont pas encore formatés à l’être
oui, exactement – et dans quelle mesure la pose fait-elle partie de ce format-là…
Tiens mon ancienne école … et pour info le photographe a une double vie (il œuvre pour Marie claire idées où du moins œuvrait, j’ai fais dans le temps quelques piges pour ce journal…)
ton ancienne école, mais tu n’étais pas vers Daumesnil ? ah bon ? on en apprend tous les jours…