vendredi 5 juillet 1122
ayant terminé « Une histoire populaire de la France » (vaguement le sentiment que l’image de couverture a été retournée sur son axe) j’ai entamé deux livres portugais – je m’en sors, je m’en sors – je ne sais bien ce que je cherche mais je cherche – entre l’Italie et le Portugal, la Tunisie, l’Algérie et la France, on fait dans le méditerranéen
ce n’est pas que les voyages me manquent (je suis casanier, j’aime retrouver ma table mes objets les choses me rassurent) mais parfois le souvenir d’ici
(la jaguar de Nicosie) ou de là
(la campagne d’Eubée – c’est plus à l’est et un salut à M.et Th.) me rassure aussi – fortement bousculé par l’annonce d’une grave maladie d’un enfant d’ami : c’est pourquoi, sans doute, il me faut cette assurance des choses – hier journée blanche mais le « formidable » de l’ami photographe pour le petit texte – accident de voiture dégâts matériels, perte des papiers etc. des choses qui se passent et nous laissent blessés sur le bord de la route, comme cette chute (deux marches seulement certes) (rien de grave non plus, tant mieux) de l’amie d’Avignon (cette qualification d' »ami » directement importée de ce monde virtuel interroge souvent et inutilement) mais marcher dans les rues et y faire attention – avancer quand même (à deux minutes de moins de jour par jour, on a perdu une demi-heure – je regrette le début du mois de juin, et les regrets sont une plaie)
poisson grillé sur le port (chez Sauveur disait Hocine – bon voyage, il s’en retourne…) – essayer encore, sans y parvenir à écrire :pour quoi faire ? pour qui ? quelles conditions ? avancer et lire – un tour au greffe quand même une quinzaine d’euros supplémentaire pour dépôt en retard – tout se monnaye – des centaines de jeunes enfants en casquette sur les ponts, sous le soleil – aujourd’hui j’essaye chez Gibert
Photo de la Jaguar : une fois nettoyée, impec ! 🙂
navrance pour l’enfant.. ce genre de chose qui reste en sous-face de ce qu’on pense et fait
et OUI à la méditerranée et aux méditerranées même avec leur sacrée tendance à la guerre quasi civile